Le quartet Joulik trace, avec Rivages, une cartographie sensible d’un monde sans frontières. Leurs voix s’enlacent aux cordes, aux percussions et aux rythmes du monde — du maloya à la samba, des Balkans aux Andes.
Chaque titre est une escale rêvée, un pont tendu entre les cultures. Les voix, tressées avec art, dessinent une fresque sonore en mouvement, à la fois enracinée et libre. Joulik sublime la diversité musicale avec ferveur, douceur et un profond désir de reliance.

“Je suis immense, je contiens des multitudes”, des mots que La Clara Sofia emprunte à Walt Whitman et qui irriguent sa musique écrite en portugais et en anglais, se faisant l’écho des villes et des vies qu’elle a vécues.

Sur scène, avec pour leitmotiv de faire bouger les corps et les âmes, dans un trio voix-basse-objets percussifs, le public est enveloppé dans un cocon de pop alternative tissé aux fils du Brésil.